Né à Lyon en 1928, vit aux Broussetières à Brindas, Rhône
Ecole des Beaux-Arts – LYON
PARMI SES PREMIERES EXPOSITIONS
1956 Hôtel de la Poste – Douvaine, Haute-Savoie
Prix Othon Friez
1957 Galerie Art Vivant, Paris
1961 Granges de Servette, Douvaine, Haute-Savoie
Depuis 1960, parallèlement au travail de peintre, travail d’architecture avec de nombreuses constructions de maisons individuelles, très long travail sur l’aménagement et constructions de bâtiments scolaires ou autres.
1963 Galerie Kriegel, Paris
1966 Galerie St Georges, Lyon
1966 Galerie Kriegel, Paris
1969 Galerie Bama, avec architecture, Paris
1971 Galerie L’Entracte, Lausanne
1977 Galerie L’Oeil Ecoute, Lyon
1980 Galerie Verrière avec architecture, Lyon
1982 Galerie J.L.G. Bertin, Lyon
1982 Octobre des Arts, Musée St Pierre, Lyon
1985 Galerie J.L.G. Bertin
1985 Octobre des Arts, Musée St Pierre, Lyon
1985 L’AMOUR de l’ART, Biennale, Halle Tony Garnier, Lyon
1990 Musée de Brou, Bourg-en-Bresse
1990 Städtische, Galerie – Göppingen, Allemagne
1991 Galerie Georges Verney-Carron avec Buran, Villeurbanne
1995 24 Caprices peinture glycerophtalique édité par Environ l’Infini, Lyon
2001 Ecurie St Hugues à Cluny / Peintures et Architecture au Rectangle, Lyon
2001 Peintures et Architecture au Rectangle, Lyon coproduction Institut d’Art Contemporain le Rectangle Maison d’architecture Rhône Alpes
2002 Galerie Le 9 Bis, St Etienne
2005 Musée Dini, Villefranche-sur-Saône, exposition de groupe
2007-2008 Musée Dini 50 Artistes de la Région en résonance avec la Biennale
2007-2008 Musée urbain Tony Garnier – participation à Veduta dans le cadre de la Biennale d’Art Contemporain de Lyon
NOMBREUSES BIENNALES, SALONS ET EXPOSITIONS COLLECTIVES
2001 2002 Exposition de groupe au Musée d’Art Contemporain de Lyon Collections du Musée
Oeuvres murales dont une céramique pour une usine d’incinération de Rilleux (Rhône) – 1989 Création de tables, éclairages, poignées de portes, etc.
BIBLIOGRAPHIE (EXTRAITS)
1963 ADILON ou la vision sauvage, de Jean-Jacques Lévêque – Catalogue
d’exposition
1966 Le Cerisier sous la neige de Zeitoun à propos de l’exposition – Galerie Kriegel
1982 Texte J.M. Foray – introduction au catalogue – Maison de Lyon
1984 Récit d’un geste sur des peintures de G. Adilon par Patrick Drevek
1984 Catalogue du Musée St Pierre – Textes de T. Raspail et C. Bernard : suite
pour Noir Seul
1988 Les Peintres, ses Amis, Hommage au Dr Miguet, Conservatoire d’Art &
Histoire, Annecy
1990 Catalogue pour le Musée de Brou et Städtische Galerie de Göppingen
textes: – M.F. Poiret de l’Espace et du Temps chez G. Adilon
– J.L. Moulinier: le cas Adilon au le retour de l’immanence et des
paradoxes
– Werner Meyer: Remarques sur l’Oeuvre de Georges Adilon
1991 Georges Adilon – Daniel Buren pour ceux qui accordent du temps au regard et
de l’intelligence à l’Art de J.L. Maubant, dossier de presse exposition G. Adilon – D. Buren
à la Galerie Verney-Carron
1990 ‘Le Génie du Lieu’- X. Lacroix
1983 Portfolio de 84 photographies de Blaise Adilon sur les peintures de G. Adilon
intitulé 8.8.84.
1988 – 1993 – 1999 3 ouvrages Paideia édités par l’Externat Ste Marie, Lyon
Articles dans de nombreuses revues soit de peintures, soit d’architecture.
2001 De nombreux articles parus dans la revue Architecture dont :
– Architecture d’aujourd’hui article de Brigitte David
– Technique et architecture article de J.F. Pousse
2001 Parution d’un livre sur Georges ADILON, architecture, peinture, édité
par la réunion des Musées de France dans la collection ReConnaître avec des articles
de J.L. Maubant, Père Perrot, Brigitte David et une introduction de Jacqueline ADILON.
2003 Article dans la revue UTOPIA
Participation à divers colloques.
2001 Entretien France Culture avec François Chaslin
Conférences
2002 2003 Liège, Grenoble, Quimper
» Georges Adilon est comme Lachièze-Rey, dont il est l’ami et que nous connaissons bien par les oeuvres qu’il présente régulièrement à la Galerie de l’Entracte, Cottavoz et quelques autres, l’une des personnalités de cette école lyonnaise dont le rayonnement est parvenu à s’imposer bien au-delà des frontières régionales et jusque dans les positions les mieux gardées de cette tentaculaire métropole de l’art qu’est Paris. Fidèles à la ville autour de laquelle ils restent groupés, travaillant chacun dans le style qui lui est propre, ils ont souvent en commun une certaine forme d’esprit et une certaine sensibilité à un climat particulier qu’ils doivent à leur origine et qui constitue dans le concert de la peinture française contemporaine un apport caractéristique. On peut à travers l’art de Georges Odilon le définir par une forte intériorité, la méfiance à l’égard des effets, une réflexion méditée de la réalité traitée sur le mode mineur en tons rapprochés dans des compositions aux solides structures, même si ces dernières, dissimulées souvent sous les empâtements, n’apparaissent pas au premier coup d’il.
Adilon, en une quinzaine d’années, a traversé différentes expériences, passant de la peinture sombre à des gammes très colorées, puis à une période presque intégralement blanche pour revenir aux harmonies profondes de ses derniers travaux
… Ses peintures à l’huile qui pour la plupart sont inspirées des paysages du Midi sont traitées en matières, de telle façon que le relief de la pâte qui contribue à exprimer la forme joue presque un aussi grand rôle que la polychromie toute en nuances…
… Puissance et simplicité formelle vont de pair dans ces toiles où nous voyons revenir avec insistance des éléments circulaires, anneaux ou taches, répartis avec esprit dans l’espace pictural, empreints d’un dynamisme gestuel encore plus manifeste dans les grands dessins à la peinture noire. «
Georges Peillex
Gazette de Lausanne, 1971